Ton pire ennemi n'est pas ton concurrent, c'est toi-même
Et plus particulièrement ton amour du confort — épisode 128 🫣
Hello c’est Cadot,
Comment ça va aujourd’hui ?
Perso, je reviens d’une semaine en Islande et je suis res-sour-cée !
Aujourd’hui on va parler de quelque chose que l’on connaît tous, mais qui est le pire piège de l’entrepreneur et de toutes les entreprises :
👉🏻 La zone de confort
Parce que souvent, contrairement à ce qu’on pense c’est pas les concurrents ou le marché qui plombent notre croissance.
Mais bien notre propre propension à nous freiner, par peur ou excès de prudence… Et surtout les bonnes vieilles habitudes qui ont la vie dure.
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Mais au fait, c’est quoi la « zone de confort » ?
On voit tous ce que c’est en gros, mais pour te donner une définition un peu plus limpide, la zone de confort, c’est une situation psychologique dans laquelle tu te sens à l’aise. Autrement dit, c’est ce moment où tu es ancré dans tes habitudes et où tout changement te fait peur… Ou te donne la flemme.
Le fameux « j’ai toujours fait comme ça, pourquoi je changerai ? » ou le « ouais… Peut-être plus tard ».
Ça peut être un job qui te plaît plus trop mais que tu as peur de quitter… Car « à quoi bon en chercher un nouveau », la peur de passer des entretiens, peur de ne pas retrouver de poste.
Ça peut être avoir toujours le même business model, sans jamais rien modifier, parce que tu te dis « ça marche, pas besoin de changer »… Jusqu’à ce que tu constates que tu te fais dépasser au fur et à mesure.
Et on est absolument tous concernés. Le confort, pour le cerveau humain, c’est la survie. L’inconnu, c’est le danger. Donc par réflexe, on se protège, on reste dans ce que l’on connaît.
Pourquoi c’est important d’en sortir ?
Parce que ça t’empêche de stagner ! Surtout dans l’entrepreneuriat, l’immobilisme, c’est pas stagner… C’est carrément reculer.
Plutôt que de te laisser régir par tes peurs et par ta flemme, ça te permet de suivre tes envies et d’au moins essayer d’atteindre tes objectifs.
Et aussi parce que même si on en a tous une : moins on en sort, plus on y reste ! De ce fait, ça deviendra encore plus difficile d’en sortir… Bref, ça devient un cercle vicieux.
Il faut te rendre compte que tu es ton propre frein
Alors oui, sortir de ta zone de confort ne veut pas dire que tu vas forcément réussir. La vie n’est pas un Disney : tu peux sortir de ta zone de confort, donner le meilleur de toi-même… Et foirer complètement.
L’audace n’assure pas le succès, malheureusement.
Mais tout ça ne doit pas te freiner pour sortir de ta zone de confort : car comment savoir que quelque chose n’est pas fait pour toi ou ne va pas fonctionner… Si tu t’y confrontes pas, que tu essayes pas ?
Au moins, en essayant tu sais.
🎁 La confidence Cadot : On a essayé récemment une nouvelle manière de promouvoir les services de l’agence. Ca n’a pas fonctionné comme on voulait, mais ça nous permet d’écarter cette hypothèse et passer à la suivante.
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Mes conseils pour sortir plus facilement de ta zone de confort
1. Prends conscience de tes peurs
Qu’est-ce qui te fais peur dans le fait de changer ? De l’échec ? Du regard des autres ?
La première étape c’est de savoir pourquoi tu n’oses pas en sortir : ça te permettra de mieux les démonter.
2. Détache-toi du regard des autres
Déjà, pars du principe que les gens ne sont pas en train de scruter ce que tu fais sans arrêt. S’ils te jugent, ils te jugeront pendant quelques minutes, et après retourneront vaquer à leurs occupations.
Les gens s’en foutent de toi et de ce que tu fais. Bien plus que tu ne le penses.
C’est ton propre regard qui te pousse à te dire que les autres te scrutent… Mais c’est complètement faux. Il n’y a que toi qui te scrute à la loupe 🔎
3. Dis-toi qu’échouer n’est pas une tare
Si tu échoues ça veut dire que t’auras tenté quelque chose. Et que ça réussisse ou pas, tu auras osé et appris à oser, et osé sortir de ta zone de confort.
Donc échouer, c’est essentiel pour avancer.
4. Ecoute ton instinct
Ecoute-toi : est-ce que quelque chose, au fond de toi te dis « vas-y ». Est-ce que tu sens que tu as besoin de te lancer dans ce projet ?
Si tes tripes te crient d’y aller, écoute-les.
5. Vise des objectifs atteignables
Si avant de te lancer tu te dis « bon si jamais cette nouveau pôle dans mon entreprise n’augmente pas mon CA de 200 % dès la première année, je laisse tomber », évidemment ça devient paralysant.
Donc commence par te dire « ok, je vais lancer ce nouveau pôle » et le reste suivra. Nothing is too big, mais ne t’auto-paralyse pas en plaçant inutilement des montagnes devant toi.
6. N’attends pas d’être totalement prêt pour y aller
Spoiler : on est jamais vraiment prêt. Il n’y a jamais de bon moment.
Vas-y quand tu le sens, car si tu attends « le bon moment » tu pourras attendre toute ta vie.
7. Assume tout ce que tu fais
On a peur du regard des autres car on a peur qu’ils se moquent de nous.
Mais c’est plus facile de se moquer de quelqu’un qui tombe et qui a honte que de quelqu’un qui tombe et qui rigole en premier de cette chute.
La solution ? Assume tout ce que tu fais. Tu t’es gouré, tu t’es planté ? Pas grave, ça arrive à tout le monde.
Assumer ce que tu fais et ne pas t’excuser d’exister te permettra de sortir de ta zone de confort
La question de la semaine 🧐
« C’est quand la dernière fois que t’es sortie de ta zone de confort ? ».
— Une personne de mon équipe.
Eh bah… Pas plus tard qu’avant mes vacances, en enclenchant un projet top secret auquel j’avais commencé à réfléchir il y a quelque temps… Et qui sera, s’il se réalise, un vrai saut dans l’inconnu pour moi.
Affaire à suivre, je vous en parlerai quand je pourrais le faire.
Et sinon, pas plus tard qu’en début d’année en lançant un tout nouveau pôle à l’agence : le pôle ads.
A la semaine prochaine,
Juliette 🎁.
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