Benchmarker, c'est gagner

Episode 29 : si tu penses que benchmark = copier, viens on va discuter

Salut mon p’tit cupcake 🧁,

Tu vas bien ? Ici au top, cette semaine, mes vidéos tournées avec Clément SSB sont en train d’être diffusées sur les réseaux.

Si tu veux les voir, suis-moi sur Insta et TikTok : @juliette.cadot.

(J’ai explosé le TikTok game en 1 seule vidéo)

Aujourd’hui on va parler d’une donnée très importante en stratégie de communication, mais qui fait parfois peur à certains clients :

👉🏻 Le benchmark.

Je vais t’expliquer pourquoi en faire, pourquoi ne jamais le négliger, et comment le faire.

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A quoi sert de benchmarker ?

Faire un benchmark, c’est tout simplement aller observer la concurrence sur ton marché.

Que ce soit au niveau de la communication ou de leurs offres commerciales, ça te permets de voir ce qu’ils proposent, ce qu’ils maîtrisent, là où ils sont absents…

En gros, c’est de comprendre comment fonctionne ton marché, afin de savoir comment te placer.

Ça te permets de :

• Connaître ton secteur, ceux qui le composent. Le savoir, c’est le pouvoir mon pote.

• Prendre du recul sur ton propre business, tes propres offres, ta propre communication.

• Préparer le terrain avant de lancer une nouvelle offre ou te lancer sur un nouveau secteur.

Observe ton marché si tu veux le dominer

Quand on monte une boîte, le business plan peut être intéressant à réaliser.

Et l’étude de marché est l’une des premières étapes de ce business plan.

Comment veux-tu t’insérer sur un marché si tu ne sais pas qui le compose, qui propose quoi, qui le domine, qui est en perte de vitesse, et pourquoi ?

En plus, tu aiguises ton sens critique et analytique 👉🏻 de quoi pouvoir amener ton business plus loin.

Benchmarker n’est pas copier

Quand je parle de faire un benchmark à certains clients/prospects, j’ai parfois des réactions épidermiques :

« Non, ce n’est pas dans ma philosophie de copier mes concurrents ! ».

Sauf que, aller voir ce que font tes concurrents ne veut pas dire les copier. Ça veut dire simplement que tu sais ce qu’ils font, pour mieux te différencier, justement.

Enfin, avec un peu de déontologie, le benchmark n’est pas censé te faire copier tes concurrents…

Mais t’inspirer du meilleur pour le faire à ta sauce 🍜

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Comment faire un bench ?

Chaque communiquant a sa propre méthode pour bencher, mais je te livre juste ici la mienne, que j’utilise pour tous mes clients.

1. Le support

Je me prépare un petit document PowerPoint des familles (si tu préfères, tu peux utiliser Canva ou Google Slides, on n’est pas sectaire).

2. L’identification

Je vais checker qui sont tous les concurrents intéressants de mon client.

Je vais également lui demander directement qui sont les concurrents qu’il a identifié, et j’ajoute mes propres recommandations.

Si mon client n’a pas de rivaux direct ou que ceux-ci ne sont pas suffisamment présents dans leur communication en ligne, j’observe des comptes dans sa concurrence indirecte.

Exemple : si je bench pour un avocat en droit des affaires sur LinkedIn mais que peu de ses confrères/consoeurs sont intéressants sur la plateforme, je vais observer plus largement les avocats actifs sur le réseau.

Bien évidemment, je note tout ça dans mon p’tit PowerPoint avant de passer à la phase suivante 👇🏻

3. L’analyse

Après avoir reporté tous les comptes à observer (j’en fais au moins 3, généralement 5, pour une grosse strat’ ça peut aller jusqu’à 7), place justement… à la phase d’observation.

Telle Super Nanny, j’enfile mon tailleur et mes lunettes et je regarde qui fait quoi, et surtout comment 👩🏻‍🏫

Pour chaque entreprise observée, je note différents éléments :

• Est-elle présente sur le/les réseaux observés ?

• Si oui, combien d’abonnés a-t-elle ?

• Quels types de contenus publie-t-elle ? Que ce soit en termes de thématiques ou en termes de formats (vidéos, photos…)

• Publie-t-elle fréquemment ou de manière irrégulière ?

• Les contenus sont-ils de qualité ?

• Quels sont ses points forts et ses points faibles ?

• Est-ce qu’elle a une bonne connaissance de la/es plateforme(s) sur lesquelles je l’observe ?

4. Le reporting

Une fois que j’ai répondu à toutes ces questions, je vais compiler mes réponses dans mes slides, soit en faisant une page par concurrent, soit en mettant plusieurs observations sur une même page.

Dans une stratégie dédiée à plusieurs réseaux sociaux, je classe par réseaux sociaux, en disant « voici qui de vos concurrents sont présents sur Instagram et comment », puis je passe à LinkedIn, puis TikTok, etc.

5. L’analyse globale

Après avoir observé et reporté tous les points forts, points faibles de chaque concurrent, je vais écrire une analyse globale.

Ça permet à mon client d’obtenir un résumé de mes analyses, et des recommandations pour l’avenir.

Quand faut-il faire un benchmark ?

Si c’est cool de toujours avoir un oeil sur ton marché pour savoir comment il se comporte, attention à ne pas passer ton temps à faire ça.

Parce que si tu ne fais que ça, tu vas t’auto-bloquer en suranalysant constamment. C’est comme tout dans la vie : c’est une question d’équilibre.

Je te conseille donc de faire un benchmark au moment où tu te lances, au moment où tu veux sortir un nouveau produit/service et que tu veux communiquer dessus.

Maintenant, t’as toutes les cartes en mains pour faire un bon bench mon ami !

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La question de la semaine 🧐

« Comment c’était la Linker House ? ».

— Plein de copains, de LinkedIn ou pas, par messages.

Eh bien comme tu peux le voir par ce grand sourire que je fais au téléphone de Mélissa, c’était vraiment top.

Je suis ravie d’avoir participé à cette première édition de week-end pensé pour des créateurs de contenus LinkedIn, même si je n’ai pas gagné le chèque de 1 000 € pour l’association que je défendais.

J’en ressors pleine de souvenirs, de rires, d’idées, de soutien dans mes projets et surtout avec un nouveau groupe de copain hyper soudé.

Merci à tous ❤️

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Tu as envie de me poser une question ?

Fais-le en commentaire de ce post ou envoie moi un message (LinkedIn, Instagram, pigeon voyageur…) !

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A la semaine prochaine,

Juliette 🎁